Émile TESSIER

Émile Tessier nait le 20 novembre 1884 à Montréal.  Fils de Joseph Tessier et Azilda Normand.

Époux d'Anna Desroches, marié durant l'hiver 1909 dans l'église Saint-Arsène de Montréal, dans le quartier La Petite-Patrie, sur la rue Bélanger. 

 La famille quitte Montréal après 1913 en direction du Rhode Island, où elle s'établit à Pawtucket.

Ferblantier-couvreur est son premier métier.  Propriétaire d'un magasin général, où l'on y vend notamment de la peinture et articles de jardinage. 

Anna Desroches 1881-1955

Il meurt le 31 janvier 1954 au Manitoba.  Anna Desroches décède, 14 mois plus tard, en avril 1955.
 

Alexandre TESSIER et Stéphanie CORBEIL

 

 TESSIER, Alexandre(1853, Montréal, Qc-1919, Saginaw, MI)
journalier et charpentier d'origine irlandaise  né en août 1853,
baptisé le 27 novembre 1854,  à Montréal, de parents inconnus;
marié vers 1875 dans la région de Peterborough, Ontario, avec
Stéphanie Corbeil, fille de François Corbeil et de Mathilde Perreault. Alexandre, Stéphanie et les 13 enfants du couple vivent dans la ville  de Saginaw au Michigan.  Alexandre et Stéphanie arrivent dans la région en 1882 en provenance de Peterborough, Ontario.

La famille est recensé à Peterborough en 1881, à Saginaw en 1900 et 1910.  Stéphanie meurt en 1914, et Alexandre en 1919. Dès son arrivée au Michigan en 1882, la famille Tessier change de nom pour CASEY.  Au recensement de 1920, les enfants du couple qui sont mariés(Charles, Alexandre, Matilde et David) déclarent que l'origine ethnique de leur père est irlandaise en provenance du Canada.  Par contre Helen dit que son père est d'origine française.

EXPLICATION:  Alexandre serait né à Montréal de parents inconnus,  orphelin, adoptée par une famille Tessier dit Lavigne de la région dont l'identité est difficile à établir.  De 1816 à 1860, on estime que plus de un million d'immigrants, dont 60 %
étaient Irlandais, sont entrés au pays par les ports de Québec et de Montréal.  Au cours de la triste année de 1847, quelque 17 477 immigrants à destination de Québec sont décédés; il s'agissait pour la plupart d'Irlandais. De ce nombre,
3 879 ont trouvé une sépulture à Grosse-Île, alors qu'environ 5 000 sont enterrés près des hangars de Pointe Saint-Charles à Montréal.  Heureusement, cette tragédie s'est dénouée sur une note moins triste.  Des centaines d'orphelins aussi bien à Québec qu'à Montréal ont été adoptés
par des familles francophones qui leur ont permis de conserver leur nom irlandais.
(Source: Canadian Irish Studies Foundation)

Une famille de Joliette semble correspondre, celle d'Urgel Tessier et de Félicité Beaudry.  Plusieurs garçons de cette famille ont émigrés dans la région du Michigan pour s'y établir mais à ce jour rien ne confirme un lien quelconque entre ces Tessier et Alexandre Casey.

La Saint-Jean

 LE 24 JUIN 1638, les habitants de la Nouvelle-France célèbrent pour la première fois la fête de la Saint-Jean. D'abord, il y avait la fête religieuse suivie comme en France, par des coups de canon et des feux de joie car la Saint-Jean correspondait aussi au solstice d'été. C'est Ludger Duvernay, patriote et fondateur de la Société Saint-Jean-Baptiste, qui a le premier, en 1834, fait de la Saint-Jean une fête patriotique. À partir de ce moment, la fête traditionnelle française devient fête patriotique des Canadiens-Français. Elle est officiellement appelée Fête nationale du Québec depuis 1977. (Peinture : Jules Breton)

Lucie TESSIER

Maison funéraire Racine, Robert & Gauthier Beauchamp Funeral Home
C'est avec grande tristesse que nous vous faisons part du décès de Madame Lucie Tessier, survenu le 12 juin 2025 à l’âge de 61 ans à l’Hôpital de Hull.
Elle fut précédée par ses parents Léo Tessier et Huguette Gornon ainsi que son frère Jacques.

Elle laisse dans le deuil sa fille Maryse, ses frères Richard et Marc (Lynn), ses sœurs Lyne (Gaston), Sylvie (Yves) et Christine (Yves), son filleul Éric (Véronique) ainsi que plusieurs nièces, parents et amis.

Un service commémoratif aura lieu à la Maison funéraire Racine, Robert & Gauthier Beauchamp, au 271 boul. St-Joseph à Gatineau, le vendredi 4 juillet 2025 à 11h. La famille recevra vos condoléances à compter de 10h30.

En guise de sympathie, un don à un organisme de bienfaisance de votre choix serait apprécié.

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Arbre généalogique

Lucie est une descendante d'Urbain Tessier de la 10ième génération

9. Léo Tessier et Huguette Gornon

8. Stanislas Tessier et Marie-Anne Pilon

7. Christophe Tessier et Zélia Primeau

6. François Tessier et Brigitte Lefebvre

5. François Tessier et Angélique Gendron

4. Jacques Tessier et Marguerite Surette

3. Jacques Tessier et Marie-Louise Monet

2. Jean-Baptiste Tessier et Élisabeth Renaud

1. Urbain Tessier et Marie Archambault

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François Tessier

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Léo Tessier

Huguette Gornon

 

Jeanne MANCE

 LE 18 JUIN 1673, décès de Jeanne Mance. Elle arriva en Nouvelle-France avec Paul Chomedey de Maisonneuve le 17 mai 1642, dans le cadre de la Société Notre-Dame de Montréal, avec l'intention d'y fonder un hôpital. Jeanne Mance y fit rapidement construire l'hôpital Hôtel-Dieu de Montréal, inauguré par elle le 8 octobre 1645, et dont elle assura la direction jusqu'à sa mort. Elle est considérée par certains comme la co-fondatrice de la ville de Montréal.

Françoise TESSIER

Francoise Tessier
février 13, 1945 — juin 7, 2025
Manchester
Francoise Cecile Tessier passed away on Saturday June 7, 2025, in Derry, NH, with her loved ones by her side.

Born on February 13, 1945, in Magog, Quebec, she was the daughter of Rosaire and Agnes (Langlois) Tessier.

Francoise was employed by Velcro USA in Manchester, NH, until her retirement.

Fran was a joy to be around. One of her favorite pastimes was listening to music. Some of her favorites included Elvis Presley, Michael Bolton, and Bob Seger.

She loved spending time with her family most of all.

Fran is predeceased by her sister, Danielle (Tessier) Pelletier.

She was loved and survived by many people including; Daughter, Kathy Roy Hansen, Son-in-law, Ernest R. Hansen, Grandchildren; Nicole, Claudia, Nathan, and Claire Hansen, her great granddaughter, Stella Edwards (Nicole Hansen), her brothers and sisters; Lise (late Laureat Groleau), Christian (Catherine Marion), Robert (late Lisette Corriveau), Luc (Jacinthe Breton), Johanne (Claude Martin) and Alain Tessier, as well as many nieces, nephews, cousins, and friends.

A private family service will be held at the convenience of the family.

In lieu of flowers, please consider making a donation in Fran’s name to the Alzheimer’s Association at www.alz.org.

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Arbre généalogique

Françoise est une descendante d'Urbain Tessier de la 11ième génération

10. Rosaire Tessier et Agnès Langlois

9. Dénias Tessier et Rose-Alma Trudel

8. Jean-Baptiste Tessier et Philomène Ledoux

7. Paschal-Louis Tessier et Théotiste Bousquet

6. Joseph Tessier et Marie-Françoise Mercier

5. Jean-Baptiste Tessier et Marie Chodillon

4. Jean-Baptiste Tessier et Marie-Catherine Janot

3. Joseph Tessier et Marie Cusson

2. Jean-Baptiste Tessier et Élisabeth Renaud

1. Urbain Tessier et Marie Archambault

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Paschal-Louis Tessier

Joseph Tessier, époux de Marie-Françoise Mercier

Théophile LAVIGNE

Théophile LAVIGNE, un jeune sympathisant du parti conservateur de John-A. MacDonald, fils de Paul LAVIGNE et de Françoise BLAIS, de Montréal, époux de Flavie HURTUBISE, a été membre de l'armée canadienne des zouaves pontificaux, en 1868. Incorporé au premier bataillon qui fut expédié à Rome, entre mars et septembre 1868, pour aller défendre le Saint-Siège contre l'ennemi qui voulait démembrer les États pontificaux pour unifier l'Italie.
«Le bataillon canadien des zouaves pontificaux est une unité de l'armée pontificale, formée peu avant la fin de l'existence des États pontificaux. Sa formation obéit tout autant à des considérations liées à la politique canadienne qu’à la situation italienne liée aux guerres d’unification par Garibaldi. les États pontificaux contrôlés par le pape s'opposaient pendant 16 siècles à l'unification des italiens en contrôlant une partie du territoire de l'Italie»
«Certains journaux encouragèrent la jeunesse du pays à s’enrôler dans cette armée et, en 1861, Benjamin Testard de Montigny devint le premier zouave pontifical canadien. D’autres le rejoignirent dans les années qui suivirent. Enfin, en 1867, la nouvelle de la bataille de Mentana, où un zouave canadien avait été blessé, parvint au pays et déclencha une nouvelle vague de ferveur papiste. Un comité fut formé dans le but de former un bataillon entièrement canadien de zouaves pontificaux.
En 1868, 135 hommes furent recrutés et expédiés à Rome. En tout, un peu plus de 500 zouaves furent recrutés et 388 Canadiens firent le voyage pour les États pontificaux.
«Sur place, les opérations militaires se limitèrent généralement à de longues patrouilles dans la campagne romaine, à la chasse aux « bandits ». L’expédition romaine fut surtout, pour les zouaves, une occasion de mise en condition idéologique à travers une longue série de pèlerinages, cérémonies et processions. Parallèlement, une intense campagne de propagande était organisée dans la province de Québec (créée en 1867) pour assimiler la défense du pape à une cause nationale canadienne-française. Le succès en est démontré par la disparition rapide des critiques dans la presse libérale.
D’ailleurs, à cette époque, le parti libéral était en nette perte de vitesse au Québec. La victoire conservatrice aux premières élections fédérales, garantissant la pérennité du projet de Confédération canadienne, avait été largement facilitée par l’appui du clergé au parti conservateur. Le gouvernement canadien ne souleva donc aucune objection à cette expédition d’une légalité douteuse.
Finalement, en 1870, la guerre franco-prussienne amena le départ des troupes françaises stationnées autour de Rome et qui formaient une force d’interposition entre les États pontificaux et l’Italie depuis 1864. Le 12 septembre, les troupes italiennes envahirent les États pontificaux. Le 20, le pape ordonna la reddition de ses troupes.
Quelques unités de zouaves canadiens continuèrent le combat un certain temps après avoir reçu l’ordre de déposer les armes. Ils furent arrêtés et forcés de défiler à travers les rues avant que l'ambassade britannique puisse obtenir leur libération et leur renvoi au Canada.
Malgré cette fin plutôt piteuse, un détachement de 212 zouaves reçut un accueil triomphal à Montréal, le 9 novembre. Certains ne revinrent pas : l’un se fit moine, deux s’engagèrent dans l’armée française et 9 étaient morts de maladie. Aucun zouave canadien ne fut tué au combat malgré quelques blessés légers.
La défaite militaire se transforma néanmoins en un triomphe pour le clergé catholique au Canada et s’inscrit dans le processus de monopolisation du nationalisme canadien-français par l’idéologie cléricale-conservatrice qui devait dominer la province de Québec pour près d’un siècle».

 source Régiments des zouaves pontificaux canadiens; Le Canada et les Zouaves pontificaux par E Lefebvre de Bellefeuille