Un métier disparu de nos jours, ou presque, celui de tonnelier.
Un
bon tonnelier confectionnait des bariques pour pouvoir permettre au
vin, à la bière ou à l'alcool de bien vieillir avant la consommation.
Pour être un bon tonnelier, il fallait être habile de ses mains et précis dans ses gestes
afin de produire des fûts de bois de qualité.
En Nouvelle-France, puis au Bas-Canada, le tonneau servit surtout à stocker les grains, les salaisons et les clous.
Les tonneliers dans la famille Tessier-Lavigne furent principalement:
-Antoine Tessier(Marguerite St-Romain) de Montréal vers 1758
-Louis Tessier(Marguerite-Amable Roy) de Lachine vers 1760
-Louis Tessier(Élisabeth Payet) de Montréal vers 1802
-Louis Tessier(Marie Lefebvre) de Montréal vers 1815
-Jean-Baptiste Tessier(Marie Couvret) de Montréal vers 1820
-François-Xavier Tessier(Angélique Coursol) de l'Assomption vers 1833
-Édouard Tessier(Élisabeth Martin) de l'Assomption vers 1838
- Joseph Tessier(Hélène Bartell) de l'Assomption vers 1862
-François Tessier(Philomène Vaillancourt) de Beauharnois vers 1872
-Albert Tessier(Adéline Dubuc) de Montréal vers 1892
Le
tonnelier utilise le plus fréquemment du chêne pour la fabrication d'un
tonneau. Le bois est d'abord préparé par un merrandier en douelles, qui
seront assemblées, chauffées et resserrées à l'aide de
cercles en fer. Sont ensuite insérées les pièces de fond, puis le trou
de bonde et de broquereau percés.
Source Photo Texte Wikipedia L'encyclopédie libre
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