Édouard-Charles TESSIER et Edna ROCH

 

Oscar TESSIER et Marie-Anne HÉTU

Lors du recensement de 1901, Oscar Tessier et Marie-Anne Hétu, leurs 7 enfants(Bernadette, Emérentienne, François-Paul, Edouard-Charles, Thérèse, Ambroise et Pierre-Léon) ainsi qu'un domestique engagé, Placide Bonin âgé de 21 ans, résident
à St-Félix-de-Valois.
 

François TESSIER et Désiréee GEOFFROY

François TESSIER est un fermier canadien-français, et la paroisse de Saint-Félix-de-Valois, dans la région de Lanaudière, né le 30 mai 1825 à Sainte-Élisabeth et mort le 4 mars 1887à Saint-Félix-de-Valois.
Fils de François Tessier et de Geneviève Favre dite Montferrand. Le 1er juillet 1846, il épouse Désirée Geoffroy dans la petite église de Sainte-Élisabeth. Au cours des 30 années suivantes, 15 enfants sont issus de leur union, dont 12 atteignent l'âge de la majorité(25 ans).
Aux recensements canadiens de 1851, 1861, 1871 et 1881, François Tessier réside dans la paroisse de Sainte-Félix-de-Valois.
En 1890, la famille Tessier demande l'octroi d'une terre gratuite auprès du gouvernement provincial(Québec).
Pour se prévaloir des dispositions de la loi, tout père ou mère de famille éligible doit présenter une requête au secrétaire de la province, accompagnée de son acte de mariage, d'un extrait de naissance de chacun de ses enfants vivants ainsi que d'un certificat devant un juge de paix, constatant le nombre de ses enfants et leurs noms.
 

François TESSIER et Geneviève FAVRE-MONTFERRAND

Les nouvelles du vieux continent annoncent la prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, par les Parisiens. On assiste à la fin de l'«Ancien Régime» et le début de la Révolution française.
Fin 1790, les politiciens projettent la formation de deux colonies distinctes, le Haut-Canada(Ontario) et le Bas-Canada(Québec), avec chacune un gouverneur et une Chambre d'assemblée, seulement à titre consultatif.
À Berthierville, Jean-Baptiste-Noël Pouget, prêtre de la paroisse Sainte-Geneviève, baptise François Texier(Tessier), né la veille, le 9 août 1790, assisté du parrain, Alexis Houde, et de la marraine, Marie-Josèphe Houde, oncle et tante de l'enfant. François est le 7ème enfant, et le 4ème garçon, de François Tessier et de Marie Houde.
François Tessier épouse Geneviève Favre dite Montferrand, fille de François Favre et de Geneviève Énos, le 7 juillet 1818, dans l'église Sainte-Geneviève de Berthierville.
Un beau mariage célébré par le prêtre Louis Lamotte, avec de nombreux invités.
La famille Tessier habite principalement à Sainte-Élisabeth, une paroisse sise au nord de Berthierville, dans la région de Lanaudière.
François est cultivateur, possède une terre de 90 arpents, cultive la patate, récolte le blé et l'avoine. Il possède 2 chevaux et quelques bovins.
François Tessier est le père de 8 enfants vivants en 1836.
Aucune mention note la participation de François Tessier, âgé de 47 ans, lors des troubles patriotiques qui agitent la région de Montréal en 1837.
Le corps de Geneviève Montferrand a été inhumé sous les voûtes de l'église de Sainte-Élisabeth, le 20 novembre 1869. François Tessier, pour sa part, meurt 5 ans plus tard, le 1er janvier 1874, et est inhumé le surlendemain, à côté de sa femme.
L'inhumation intra-muros est réservée habituellement aux ecclésiastiques, aux notables, mais aussi aux généreux bienfaiteurs de la paroisse.
 

Mariette TESSIER

Mariette Tessier
Année de naissance: 1935
Date de décès: 11 septembre 2025
Date des funérailles: 26 septembre 2025
À Montréal, le 11 septembre 2025, à l’âge de 89 ans, est décédée Mme Mariette Tessier, épouse de feu Réal Forcier. Elle laisse dans le deuil ses enfants Carole (Louis) et Pierre (Doris), ses petits-enfants Mathieu (Claire), Nicolas (Véronique), Yannick (Véronique), Sandra (Stéphane), Maxime et Frédéric (Catherine), ses arrière-petits-enfants, sa sœur Françoise (Jean-Marie), ses belles-sœurs Gabrielle (feu Charles) et Lisette (feu Maurice), son filleul Luc (Lucie), ses neveux et ses nièces, autres parents et de nombreux ami(e)s. La famille recevra les condoléances, le vendredi 26 septembre 2025 à compter de 16h00. Une liturgie de la Parole, sera célébrée sur place, à 18h30.

À la place de fleurs, vos marques de sympathies peuvent se traduire par un don à l’organisme de votre choix, en sa mémoire, serait apprécier.


Vous êtes convié(e)s à lui rendre un dernier hommage au: 8005 Notre-Dame est Montréal H1L 3K9

Direction funéraire Montréal: 514-353-9199

-------

Arbre généalogique

Mariette Tessier

8. Edouard-Charles Tessier et Edna Roch

7. Oscar Tessier et Marie-Anne Hétu

6. François Tessier et Désirée Geoffroy

5. François Tessier et Geneviève Favre

4. François Tessier et Marie-Catherine Houde

3. Jacques Tessier et Marie-Josèphe Beaudoin

2. Ignace Tessier et Marguerite Lussier

1. Urbain Tessier et Marie Archambault

---

 

Aza TESSIER et Marie-Louise ARCAND

 

Mathias Tessier et Félanise Marsan

Mathias Tessier, né le 24 février 1836 à L’Assomption, incarne la continuité d’un savoir-faire familial en embrassant le métier de menuisier, tout comme son père avant lui. Dans cette petite ville du Québec, il grandit au rythme des copeaux de bois et des traditions artisanales, développant un sens aigu du travail bien fait. C’est également à L’Assomption qu’il unit sa vie à Félanise Marsan, le 7 juillet 1860, scellant une alliance qui allait donner naissance à une famille nombreuse et soudée.

Le couple s’installe à Montréal, où ils élèvent leurs huit enfants dans un foyer marqué par la rigueur du métier et la chaleur des liens familiaux. Dans une ville en pleine expansion, Mathias met son talent de menuisier au service de la communauté, contribuant à bâtir les fondations d’un Montréal en devenir. Sa vie, bien que modeste, est empreinte de dignité et de constance, reflet d’une époque où l’artisanat était au cœur de la vie quotidienne.

Mathias décède le 22 décembre 1896 à Montréal, laissant derrière lui un héritage de travail et de valeurs. Félanise, sa compagne de toujours, poursuit son chemin jusqu’au 4 avril 1917, date à laquelle elle s’éteint à son tour dans la même ville. Ensemble, ils auront traversé les bouleversements du XIXe siècle, témoins silencieux d’une société en mutation.

Leur histoire, bien que simple, résonne comme celle de milliers de familles québécoises de cette époque : enracinée dans le terroir, portée par le labeur, et animée par l’amour des siens. Aujourd’hui, leur mémoire demeure vivante à travers leurs descendants et les traces qu’ils ont laissées dans le tissu de la ville